L’ADSORption
Destination
finale des installations OMNIATEX sont les usines mécaniques, la
production de
peaux synthétiques, l’impression de journaux et magazines, l’impression
des
emballages souples, la production de papiers spéciaux, la production de
bandes
pour convoyeurs, la production d’adhésives, les installations de
traitement
d’eaux de ville, la production de composant d’automobiles, les
distilleries de
spiritueux et les entreprises de production d’alimentaires.
La typologie
productive de ces
installations a une large plage qui comprenne installations avec
adsorption,
absorption, filtration et distillation. La longue expérience a permis à
L’adsorption
c’est un procédé très simple qui permet de capturer et neutraliser sur
un
medium solide, et avec un rendement très élevé les solvants contenus
dans une
émission rejetée à l’atmosphère.
L’adsorbant
solide usuellement employé c’est le charbon active d’origine végétale
ou
minérale, traité thermiquement pour obtenir un matériel poreux avec un
surface
active très élevée. La qualité du charbon avec origine végétale a,
habituellement, une qualité bien supérieure à celle du charbon
d’origine
minérale et différents types d’imprégnation ont l’effet d’augmenter
l’abattement des polluants.
|
La qualité de
l’adsorption donnée par quelconque charbon actif est principalement
basée sur sa surface active mesurée en B.E.T. (acronyme des trois nom
de scientistes qui ont réalisé cette méthodologie de mesure) exprimée
en mètres carrés de surface active
mesurée par chaque gramme de charbon. |
|
Usuellement pour le traitement d’air pollué on utilise un charbon actif avec 1000 m2/g di B.E.T. (surface active) mais OMNIATEX utilise un charbon optime, avec au moins 1250m de surface active par gramme de charbon.
L’adsorption
c’est un procédé de transfert de masse, parce que tous les composant
contenus dans le flux d’air passent progressivement et avancent dans le
charbon actif. Les molécules de charbon sont attirées pas la surface
active du charbon pas les forces de Van der Waals, le scientiste qui a
découvert ce phénomène physique.ITALIE: installation de 50.000 m3/h
pour récupération solvant dans la production de film protectif
L'efficacité
de rétention du charbon actif, en plus de la surface active, est donnée
par:
v Caractéristiques chimiques- physiques du solvant | |
v Caractéristiques chimiques- physiques du charbon actif | |
v Distribution et dimension des pores du charbon | |
v Vitesse du flux d’air dans le charbon | |
v Hauteur de la couche de charbon actif | |
v Humidité relative du flux d’air | |
v Température du flux d’air | |
v Concentration du solvant dans le flux d’air | |
v Pression du procédé d’adsorption | FRANCE: installation de 120.000 m3/h avec 25.000 Kg/j de solvant récupéré |
La rétention
de solvant donnée par l’activité du charbon actif, est montrée, à
l’équilibre
et avec température et pression données, par un diagramme spécial
appelé Isotherme,
dans le quel la capacité de rétention
est exprimée en % (poids) de solvant capturé par Kg de charbon
spécifique
utilisé à la concentration (ou pression partiale) du solvant en entrée
dans le
charbon. Can l’isotherme d’équilibre vient atteinte par le charbon, la
même
quantité de solvant qui entre la couche de charbon quitte le charbon,
justement
parce que l’équilibre a été atteint et le charbon employé n’a pas plus
de
‘’forces’’ pour capturer encore du solvant.
Donné que la
concentration de solvant rejeté, à charbon plein, est habituellement
bien supérieure
aux limites imposées par
On doit bien
faire attention que la capacité d’adsorption des charbons actifs est
bien réduite, dans plusieurs cas définitivement, par la présence dans
le flux d’air contenant le solvant, par des autre composants que ne
peuvent pas être tirés des pores du charbon actif, comme les solvant
haut bouillants, les agents de polymérisation, la poussière et beaucoup
d’autres composants chimiques. Quand ces
composants sont présents dans l’air à traiter l’adsorption ne peut pas
être conduite avec une efficacité acceptable, et le charbon doit être
remplacé. Ce cas peut arriver après quelque mois ou, maxi, après deux
trois ans du démarrage de l’installation. |
BELGIQUE: installation de 14.000 m3/h
pour récupération d’acétone super anhydre |
Par conséquence
une attention particulière doit être appliquée à ce problème car le
coût du
changement du charbon actif de l’installation représente un frai
opérationnel très
élevé pour le conducteur de l’installation. Si l’air en entré à
l’installation
c’est sans polluants, ou si ces derniers sont éliminés avant de l’entré
sur le
lit de charbon, si la vapeur est produite avec une eau déminée poussée
et si la
pression de régénération est faible, le vie du charbon de
l’installation est
usuellement de 8 – 10 ans.
Dans les
années 90 OMNIATEX reçu un Prix de part du CNR Italien (Centre
Nationale pou
Le procédé
d’adsorption dans le lit de charbon avance avec pas successifs jusqu’à
l’équilibre. Au début, le polluant est complètement retenu par le
charbon et le
flux d’air qui quitte le lit de charbon est complètement sans solvant.
Progressivement le solvant va remplir les pores du charbon et la masse
de
polluant retenu avance dans la couche de charbon jusqu’au point que
dans le
flux d’air qui laisse le charbon vont paraître les premières traces de
solvant.
Cette phase s’appelle PERCAGE du lit.
A ce point la
couche de charbon est chargée en façon différente. Les pores du charbon
à l’entrée de l’air son complètement remplis de solvant et l’équilibre
de l’isotherme est atteint, dans le mi de la couche les pores sont mi
pleins et dans la sortie de la couche de charbon seulement quelque pore
est plein de solvant, les autres étant vides.ITALIE: installation de 220.000 m3/h
pour la récupération de solvant dans l’impression des emballages
souples. Le solvant récupéré vient employé soit pour les encres soit
pour la lamination
La
régénération du lit de charbon est faite avec un moyen régénératif qui
provoque
la rupture de la liaison entre la surface active du charbon et le
solvant
liquide contenu dans les pores. Le moyen le plus employé c’est la
chaleur,
appliquée directement ou indirectement.
La chaleur
donnée par la vapeur d’eau c’est le moyen le plus efficace et
économique pour
la régénération du charbon actif.
La chaleur fait évaporer le solvant contenu dans les pores du charbon, les vidangeant presque complètement, laissant une partie de surface active libre et nettoyée. Le même effet peut être atteint, avec beaucoup moins d’efficacité par un gaz chaud qui baisse la pression partiale du solvant. Usuellement l’efficacité de la régénération du charbon actif est assumée dans la façon suivante:
MOYEN DE REGENERATION, alimenté pour 20 min | Efficacité % |
Vapeur directe
à | 98 |
Gaz chaud à | 45 |
Vide à | 25 |
Chauffage
indirect à | 15 |
Carbon
Adsorption Handbook, Cheremisinoff / Ellerbusch - |
L’efficacité
de la régénération est principalement donnée par les données suivantes:
v Caractéristiques
chimiques- physiques du solvant v Caractéristiques chimiques- physiques du charbon
actif v Moyen de régénération v Température de la régénération RUSSIE: installation de 45.000 m3/h pour la récupération
d’essence v Durée de la régénération v Action mécanique du moyen régénérant à l’intérieur
des pores
Le moyen de
régénération
ne nettoie pas complètement l’intérieur des pores ou le solvant s’est
liquéfié.
Ça pour la
quantité d’énergie qu’il y faudrait, pour libérer la partie plus
interne et
petite des pores, qui serait très élevée et, en plus, la température
standard
n’est pas assez pour couper les liaisons entre solvant liquéfié et
surface active.
Ça signifie que
la régénération ne
vidange pas le pore par entier mais seulement la partie superficielle
qui est
plus large et ou les force sont plus faibles, pas la partie profonde du
pore.
Cette c’est la raison par la quelle au démarrage le premier solvant
n’est
jamais récupéré, car il est utilisé pour remplir la partie profonde des
pores
ou il reste pour toujours. Pourtant cette est la raison pour la quelle
on peut
pas utiliser le charbon en plein, suivant l’isotherme d’équilibre, mais
on doit
prendre un rétention de travail d’environ le 50 % de l’isotherme et ces
nouveaux points de travail vont construire une autre isotherme appelée
communément ‘’isotherme de travail’’ du charbon actif.
La
régénération la plus usuelle, avec de la vapeur, de adsorbe le solvant
du
charbon et de la cuve avec le lit de charbon actif chargé de solvant,
on tire
une mélange de vapeur d’eau et de vapeurs de solvant, qui est condensée
et
refroidie.
La technologie
spéciale utilisée par OmniateX réduit fortement le brisement des
granules de
charbon actif et la production de poudre de charbon pendant la
régénération et
il n’y a pas la nécessité du tamisage du charbon des cuves avant le 6-8
ans de
travail de l’installation, épargnant la perte de charbon provoqué par
l’opération
et la nécessité de remplir la cuve avec charbon vierge pour compenser
cette
perte.
La mélange liquide obtenue est passée, si le solvant n’est pas miscible avec l’eau, dans un séparateur a gravité d’où on tire:
v une phase aqueuse qui contient seulement de traces de solvant et qui vient réutilisée dans l’usine |
v une phase organique qui est le solvant pure avec seulement de faibles trace d’eau et qui est réutilisé ‘’tel quel’’ dans la production. |
Dans le cas
d’un solvant qui se mélange réciproquement avec l’eau, les deux phases
son stockés dans des réservo ir pour être alimentées à une unité de
distillation avec une ou plusieurs tours. Soit l’eau distillée que le
solvant anhydre sont parfaitement utilisés par l’usine. Tous les
paramètres du procédé sont contrôlés par l’armoire électrique, équipé
avec écran Touchscreen, enregistreur, et instrumentation de contrôle
des consumations. Le branchement
à un réseau permette de suivre, à distance et même d’intervenir,
quelconques variables opérative.extreme
orient: 52,000
m3/h plant pour la récupération de 24.000 Kg/j de Toluène